Y-a-t-il assez de masques, de lave-mains, de savons dans les différents centres pour un meilleur respect des protocoles sanitaires ?

« Dans les écoles, il y en a mieux encore dans les centres. Les critères sur lesquels nous nous sommes basés pour choisir les centres, ce sont les centres qui disposent encore de ces matériels que le ministère a mis à leur disposition pour la reprise. Que ce soit les lave-mains, les produits d’hygiène, l’eau, les gels…, tout est disponible dans ces centres pour permettre aux élèves et aux examinateurs de venir faire l’examen comme ils faisaient les cours sans aucune difficulté majeure »
Quelles stratégies aviez-vous mises en place pour assurer le transport des examinateurs vers les centres d’examen ?
« Par rapport aux examinateurs, la particularité de Kédougou, compte-tenu du transport qui n’est pas fluide, chaque année, c’est nous qui, avec la participation des services départementaux et des collectivités territoriales transportons tous les examinateurs au niveau de leurs centres la veille »